Il s'agit du récit qui embrasse l'histoire du Salut depuis la naissance et l'enfance de la Ste Vierge Marie et de son Fils Jésus, les trois années de la vie publique du Sauveur (c'est la partie la plus étendue de l'oeuvre) - sa Passion, sa Mort, sa Résurrection et son Ascension -, jusqu'aux débuts de l'Eglise et l'Assomption de Marie. L'oeuvre, marquée d'une remarquable élévation littéraire, décrit les paysages, les ambiances, les personnages, les événements avec la vivacité d'une représentation. Elle présente les caractères et les situations avec une profonde introspection ; elle expose les faits joyeux et dramatiques avec le sentiment d'un témoin présent et comme participant ; elle informe sur les caractéristiques locales, les ambiances, les usages, les rites et les cultures, dont la grande richesse de détails observés est d'une vraisemblance indéniable. A travers le merveilleux récit de la vie terrestre du Rédempteur, notamment par les discours et les dialogues, l'oeuvre illustre tout l'enseignement du Christ selon la tradition catholique.
« Dons de nature et dons mystiques harmonieusement conjoints a écrit le Vénérable Gabriel M. Allegra o.f.m., illustre défenseur de l'oeuvre valtortienne - expliquent ce chef-d'oeuvre de la littérature italienne et, peut-être faudrait-il dire, de la littérature chrétienne mondiale. »
Il s'agit du récit qui embrasse l'histoire du Salut depuis la naissance et l'enfance de la Ste Vierge Marie et de son Fils Jésus, les trois années de la vie publique du Sauveur (c'est la partie la plus étendue de l'oeuvre) - sa Passion, sa Mort, sa Résurrection et son Ascension -, jusqu'aux débuts de l'Eglise et l'Assomption de Marie. 625 chapitres distribués en 10 tomes de 500 pages chacun.
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LA SUITE ATTENDUE DE L'OEUVRE ORIGINALE DE MARIA VALTORTA L'ÉVANGILE TEL QU'IL M'A ÉTÉ RÉVÉLÉ ADAPTÉ EN BANDES DESSINÉES Le jour de la Pentecôte, Jésus retrouve Judas à Jérusalem et l'accepte comme disciple. Soucieux de le former, il l'emmène avec lui et deux autres disciples, dans ses pérégrinations en Judée. Il lui montre l'endroit où il est né et retrouve les bergers de la Nativité qui deviennent ses disciples.
Il s'agit du récit qui embrasse l'histoire du Salut depuis la naissance et l'enfance de la Ste Vierge Marie et de son Fils Jésus, les trois années de la vie publique du Sauveur (c'est la partie la plus étendue de l'oeuvre) - sa Passion, sa Mort, sa Résurrection et son Ascension -, jusqu'aux débuts de l'Eglise et l'Assomption de Marie. 625 chapitres distribués en 10 tomes de 500 pages chacun.
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La vie de Jésus d'après les visions de Maria Valtorta (1897-1961). Dix tomes extraordinaires qui donnent un nouvel éclairage à l'Écriture Sainte et qui vous feront vivre au temps de Jésus. Une oeuvre d'une grande richesse !
Jésus lui-même a expliqué le pourquoi de cette oeuvre : « La raison la plus profonde du don de cette oeuvre est que l'Église ait des ressources de plus pour combattre ceux qui nient le caractère surnaturel des dogmes, la divinité du Christ, la Vérité du Christ, Dieu et Homme ».
Il s'agit du récit qui embrasse l'histoire du Salut depuis la naissance et l'enfance de la Ste Vierge Marie et de son Fils Jésus, les trois années de la vie publique du Sauveur (c'est la partie la plus étendue de l'oeuvre) - sa Passion, sa Mort, sa Résurrection et son Ascension -, jusqu'aux débuts de l'Eglise et l'Assomption de Marie. 625 chapitres distribués en 10 tomes de 500 pages chacun.
Les trois volumes des Cahiers réunissent un ensemble d'écrits spirituels, doctrinaux, bibliques ainsi que des passages autobiographiques. On y trouvera également des scènes évangéliques et des visions du martyre des premiers chrétiens, enfin un commentaire de l'Apocalypse.
En avril 1943, Maria Valtorta - alors âgée de 46 ans et alitée depuis 9 ans - termine en deux mois et demi le récit de sa vie, à la demande de son confesseur. C'est par une supplique étonnamment ouverte sur le monde qu'elle clôt le récit de sa vie, somme toute, humainement banale. Dans ce récit, je me suis présentée telle que je suis ; on y trouve ma chair avec ses passions humaines, mon âme avec ses espérances spirituelles, mon esprit avec son amour d'adoration. [...] Oh ! Seigneur, par mon sacrifice caché de chaque instant, donne-moi des foules d'âmes à t'offrir. Fais-les avancer et moi aussi dans la lumière, dans ta lumière, et, lorsque pour nous le temps sera accompli, ouvre-nous, ô Dieu, les portes de ton royaume et les portes de ton cÅ«ur en sorte que pour l'éternité on se délecte de toi, tout puissant, éternel, et Dieu trine. (Autobiographie, p 536) Tu ne seras pas sainte pour avoir écrit l'Å«uvre, mais en raison de ton sacrifice, pour toute ta vie d'amour et de sacrifice (dit Jésus à Maria Valtorta, Les Carnets, 16 décembre 1950).
Quinze contemplations, retranscrites parmi toute son oeuvre ? surtout dans les Cahiers ? sont rassemblées au coeur de ce recueil, la force des martyrs... Les saints innocents, Etienne, Phénicule, Pétronille, Irène, Flore, Justine, Valentin et tant d'autres noms, oubliés parfois, s'y entrelacent en un chapelet de lys tressés au Corps et au Sang du Christ : hosties immolées dans l'Hostie. Maria Valtorta les voit, les entend : aimer, vivre, souffrir et mourir. De cette mort extatique si violente ou si douce, insoutenable souvent dans le cri des bourreaux, l'éclat cru de la lame, le broiement des chairs et le parfum du sang. Le sang des martyrs féconda l'Eglise naissante et balbutiante... l'Eglise militante, souffrante et triomphante... (de la préface de Véronique Lévy)
Les trois volumes des Cahiers réunissent un ensemble d'écrits spirituels, doctrinaux, bibliques ainsi que des passages autobiographiques. On y trouvera également des scènes évangéliques et des visions du martyre des premiers chrétiens, enfin un commentaire de l'Apocalypse.
Clouée au lit depuis de nombreuses années déjà, Maria Valtorta reçoit, au plus sombre de la 2ème guerre mondiale, la vision complète des scènes de l'Évangile. Cette vie de Jésus étonnante de précisions a été lue, à titre personnel par trois papes, des théologiens et biblistes et rencontre un succès populaire ininterrompu depuis 60 ans. Jésus lui a donné d'autres dictées comme ce magnifique texte présenté ici : Une heure avec Jésus. J'ai dicté une Heure Sainte pour ceux qui la désiraient. J'ai dévoilé mon Heure d'Agonie du Gethsémani pour te donner une grande récompense, car il n'y a pas d'acte de confiance plus grand entre amis que celui de dévoiler à l'ami sa propre douleur. Ce n'est pas le rire ni le baiser qui sont le témoignage suprême de l'amour, mais les larmes et la douleur dévoilées à l'ami. Toi, mon amie, tu en as été témoin lorsque tu étais au Gethsémani. Maintenant tu es sur la Croix, et tu ressens des peines mortelles. Appuie-toi sur ton Sauveur, alors qu'il te donne une heure de préparation à la mort.
Clouée au lit depuis de nombreuses années déjà, Maria Valtorta reçoit, au plus sombre de la 2ème guerre mondiale, la vision complète des scènes de l'Évangile. Cette vie de Jésus étonnante de précisions a été lue, à titre personnel par trois Papes, des théologiens et biblistes et rencontre un succès populaire ininterrompu depuis 60 ans. Jésus lui a donné d'autres dictées comme ce magnifique texte présenté ici : Une heure de préparation à la mort. J'ai dicté une Heure Sainte pour ceux qui la désiraient. J'ai dévoilé mon Heure d'Agonie du Gethsémani pour te donner une grande récompense, car il n'y a pas d'acte de confiance plus grand entre amis que celui de dévoiler à l'ami sa propre douleur. Ce n'est pas le rire ni le baiser qui sont le témoignage suprême de l'amour, mais les larmes et la douleur dévoilées à l'ami. Toi, mon amie, tu en as été témoin lorsque tu étais au Gethsémani. Maintenant tu es sur la Croix, et tu ressens des peines mortelles. Appuie-toi sur ton Sauveur, alors qu'il te donne une heure de préparation à la mort.
Les 20 mystères du Rosaire dans les écrits de Maria Valtorta sont introduit par la lettre apostolique Rosarium Virginis Mariae de Jean-Paul II sur la réforme du Rosaire qui, tout en ayant une caractéristique mariale, concentre en lui la profondeur de tout le message évangélique, dont il est presque un résumé. Dans l'esprit de cette lettre apostolique, ces extraits de L'Evangile tel qu'il m'a été révélé (dans sa nouvelle traduction de 2017) - par une connaissance plus approfondie de la vie du Christ - nous incitent à méditer ces mystères que la récitation du Rosaire ne fait qu'évoquer.
Née le 18 février 1900, Mère Teresa Maria fut accueillie au monastère des Carmélites déchaussées à Rome à l'âge de 18 ans. En 1938 elle fut transférée auprès du monastère de Camaiore (Lucca), où elle fut élue prieure 3 ans plus tard.
Mère Teresa a été la grande confidente de Maria Valtorta. La cloîtrée par vocation et la cloîtrée par infirmité ne s'étaient jamais rencontrées, mais elles avaient confié à un intense échange de lettres, durant une douzaine d'années environ, leurs inquiétudes sur les péripéties de l'oeuvre et les élans confidentiels de leurs âmes soeurs.
La correspondance de Maria Valtorta retrace jour après jour une histoire humaine bouleversante sous le rayon d'une ascèse héroïque. C'est presque le reflet d'un drame qui fut récisément celui de l'Incarnation : faire accepter le don de Dieu par un monde buté et par une caste sacerdotale.
Dans ses lettres à la moniale de clôture carmélite qu'elle avait choisie comme mère spirituelle, Maria Valtorta signe « Soeur Maria de la Croix ». C'est le nom que Jésus lui avait attribué, le 14 septembre 1944, lorsqu'elle en était venue à l'aimer avec la perfection d'une véritable épouse.
Faire connaître le mystère de Judas est une des sept raisons pour lesquelles Jésus a transmis à Maria Valtorta L'Évangile tel qu'il m'a été révélé, dont les extraits mentionnant l'Iscariote sont regroupés ici. Paradoxalement, c'est, de tous les apôtres, celui que Jésus a le plus aimé, mais d'un amour souffrant.
Sous le titre « Les Carnets » sont rassemblés les derniers écrits de Maria Valtorta (1897-1961) encore inédits en français jusqu'à ce jour. Hormis sa correspondance encore non traduite, l'intégralité des écrits de Maria Valtorta est donc désormais disponible en langue française. Paru en 2007 en Italie sous le titre «Quadernetti», cette traduction française est très attendue par les lecteurs de cette mystique catholique italienne, qui a reçu de nombreuses visions et dictées de Jésus-Christ. Son oeuvre la plus connue, « L'Evangile tel qu'il m'a été révélé », est disponible en 28 langues. Ces « Carnets » complètent les trois tomes des « Cahiers » (Cahiers de 1943, de 1944, et de 1945 à 1950). Ils proviennent de textes rédigés entre 1943 et 1954, éparpillés sur des feuilles volantes, sur un cahier, mais également sur trois petits carnets, ainsi que quelques dictées non-datées ajoutés en fin de volume.
Née le 18 février 1900, Mère Teresa Maria fut accueillie au monastère des Carmélites déchaussées à Rome à l'âge de 18 ans. En 1938 elle fut transférée auprès du monastère de Camaiore (Lucca), où elle fut élue prieure 3 ans plus tard.
Mère Teresa a été la grande confidente de Maria Valtorta. La cloîtrée par vocation et la cloîtrée par infirmité ne s'étaient jamais rencontrées, mais elles avaient confié à un intense échange de lettres, durant une douzaine d'années environ, leurs inquiétudes sur les péripéties de l'Oeuvre et les élans confidentiels de leurs âmes soeurs.
Dans le tome 1 nous avons recueilli les lettres envoyées entre décembre 1945 et décembre 1946. Dans ce second tome nous recueillons les lettres de 1947 à 1957.
Les trois volumes des Cahiers réunissent un ensemble d'écrits spirituels, doctrinaux, bibliques ainsi que des passages autobiographiques. On y trouvera également des scènes évangéliques et des visions du martyre des premiers chrétiens, enfin un commentaire de l'Apocalypse.
Romualdo Maria Migliorini, ancien missionnaire au Canada et préfet apostolique en Afrique du Sud, puis prieur de la communauté des Servites de Marie à Viareggio, fut le directeur spirituel de Maria Valtorta à partir de 1942. Ce fut le père Migliorini qui avait invité Maria à écrire sa biographie. Et ce fut toujours lui qui lui fournit les cahiers manuscrits et les transcrivait sur des copies dactylographiées. Après peu de temps, Maria apprit tristement que le père commençait à distribuer des fascicules avec des extraits des visions et des dictées. Ce fut le début d'un conflit spirituel qui alla en s'accentuant quand le père commença à suivre deux autres cas de mystiques. L'une et l'autre le dévièrent du parcours entreprit et le père ne voulait pas le comprendre. Tout en reconnaissant son rôle de précurseur, comme l'avait défini Maria Valtorta, le rapport entre les deux fut interrompu en 1946.