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Actes Sud
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L'un de plus grands photographes de mode du 20e siècle ; fort de son expérience dadaïste, Erwin Blumenfeld a mené une approche singulière et audacieuse, radicale et pionnière de la photographie de mode. Le style moderniste d'Erwin Blumenfeld, à la jonction de la mode et de l'art, a radicalement transformé la photographie de mode depuis presque cent ans. Pourtant, éprouvé par la sombre histoire européenne du début du XXe siècle, Erwin Blumenfeld n'investit véritablement la photographie qu'à partir de l'âge de quarante ans. Des portraits réalisés dans son arrière-boutique aux couvertures des plus grands magazines de mode en passant par ses photomontages dada, son parcours atypique, fait d'incessantes expérimentations techniques, produit des images avant-gardistes et remarquablement actuelles.
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La photographie vaut bien une appendicite. C'est en récompense de sa vaillance lors de la bénigne opération que le jeune Erwin Blumenfeld se vit offrir son premier appareil photo. Écrite à la fin de sa vie, son autobiographie retrace son parcours photographique depuis ses débuts en amateur jusqu'à ce qu'il devienne l'un des plus grands photographes de mode des années 1950. Présentée dans une nouvelle traduction qui redonne au texte toute sa saveur, cette épopée moderne qui traverse la première moitié du XXe siècle révèle que Blumenfeld n'était pas seulement un très grand photographe : il avait aussi un réel talent d'écrivain. ""Jadis et Daguerre" raconte, d'une plume à la fois drôle et féroce, l'incroyable traversée du siècle par un artiste juif allemand : ses rencontres hautes en couleur avec les artistes dada, mais aussi son enfance et les tragédies de sa vie - deux guerres et l'exil aux États-Unis.» Claire Guillot, Le Monde
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Pas un jour sans une nuit : prix Alfred Latour
Erwin Blumenfeld, Olivier Christinat
- Actes Sud
- Arts
- 19 Octobre 2022
- 9782330171179
Quand Olivier Christinat, lauréat du prix Alfred Latour 2021, explore les frontières de l'image, le texte apparaît. Ou peut-être est-ce l'inverse : l'écriture contamine les images. Dans "Pas un jour sans une nuit", des textes emblématiques - "L'Ancien Testament" en hébreu, "L'Énéide" de Virgile en latin, "La Divine Comédie" de Dante en italien et "La Métamorphose" de Kafka en allemand - sont reproduits intégralement, mais paradoxalement presque invisibles : ils imposent un autre type de lecture, celle d'une image, d'une texture. Cette nouvelle façon de regarder modie alors notre perception des images photographiques, qui révèlent d'étonnantes correspondances.